30 septembre 2006

Guillaume Latendresse signe au CH.

Le rêve d'un jeune homme de 19 ans de la Rive-Sud de Montréal vient de se réaliser. Guillaume Latendresse a gagné sa place chez le Canadien de Montréal. Il a signé un contrat de 3 ans qui lui rapportera 850 000$ annuellement, soit le montant maximum offert pour une recrue.
Il amorcera sa première saison dans la Ligue nationale, le 6 octobre, quand le Tricolore sera à Buffalo.
En six matchs préparatoires avec le Canadien en 2006-2007, Latendresse a inscrit cinq points, dont trois buts, un sommet chez les Canadiens. L'entraîneur Guy Carbonneau a donc préféré le robuste attaquant à Andreï Kostitsyn. Latendresse était devenu la coqueluche des partisans depuis la saison dernière. Il avait été rapidement adopté par les amateurs après avoir marqué deux buts à son premier match préparatoire face à Tampa Bay en septembre 2005. Son style de jeu viril avait plu aux amateurs, en mal de vedettes québécoises après un lock-out qui avait paralysé les activités de la LNH pendant 16 mois.
Latendresse était venu près de se tailler une place dans l'équipe l'an dernier avant d'être retranché à la toute fin du camp. Il avait par la suite connu une saison remplie de hauts et de bas avant de terminer en force. À son retour à Drummondville, il avait eu du mal à se remettre du choc de sa rétrogradation au niveau junior. Il avait tout même terminé la saison avec 43 buts et 40 passes en en 51 matchs.
En décembre, il avait été sélectionné pour participer au championnat mondial de hockey junior à Vancouver mais il avait été peu utilisé par l'entraîneur Brent Sutter.
En trois saisons avec les Voltigeurs, Latendresse a connu des saisons de 24 et 29 buts.
Il avait été le deuxième choix du Canadien en 2005, 45e au total.
Le jour n'est peut-être pas loin où il y aura deux Latendresse dans le circuit Bettman puisque son frère aîné, Olivier, s'alignera avec la filiale des Coyotes de Phoenix dans la Ligue américaine. Ce dernier a connu une brillante carrière junior avec les Foreurs de Val d'Or.

20 septembre 2006

Suikoden V arrive en France.

Après un troisième opus (non sorti en France) sympa que j’avais apprécié et un quatrième volet assez décevant, voilà que Konami sort un cinquième épisode toujours sur Playstation 2.Les différentes revues de presse le concernant ont dans l’ensemble la même opinion. Dans les défauts tout d’abord, la qualité graphique qui c’est vrai fait pale figure comparée aux productions actuelles sur Playstation 2. Le second point négatif est la mise en route longue avant de pouvoir vraiment prendre son pied. Un démarrage poussif en somme.

Une attente longue avant que le jeu montre se qui l’a réellement dans le ventre. La aussi, pour les points positifs, il y a convergence. En premier pour tout Suikoden qui se respecte, le scénario promet d’être dense et palpitant. Un "character-design" qui rappelle l’excellent Suikoden II sorti sur Playstation en 2000. La durée de vie semblerait atteindre une moyenne de quarante heure de jeu. Ce cinquième opus propose à nouveau quelques batailles à grande échelle où l'on dirige des régiments un peu comme dans les RTS. Une idée reprise de Suikoden IV mais avec l’avantage d’être plus sympa. Suikoden oblige, la quête des 108 étoiles sera bien sûr au rendez-vous afin d’offrir des multiples combinaisons pour les combats.
Bref, ce Suikoden V malgré quelques défauts s’annonce riche et passionnant avec un semble t’il un retour aux sources qui ne peut pas faire de mal à la série. Le tout pour 30 € seulement, c'est une affaire. Suikoden V sera disponible à partir de demain, jeudi 21 septembre dans toutes bonnes boutiques qui se respectent.

04 septembre 2006

"Je suis en paix avec moi-même" - André Agassi.

André Agassi quitte le monde du tennis en étant "en paix avec (lui)-même, après avoir été battu au troisième tour de Flusing Meadows. Pour sa 21ème et dernière participation à New York, le vétéran de 36 ans a éclaté en sanglots en s'addressant aux 23 000 spectateurs du Court "Arthur-Ashe" qui ont longuement ovationné le champion pour une dernière fois.

Il a certes remporté moins de tournoi du Grand Chelem que Sampras mais faut il rappeler qu’il est le seul joueur à avoir gagné les quatre tournoi du Grand Chelem sur quatre surfaces différentes ! André Agassi s’est fait connaître en 1988 à Roland Garros. Je m’en souviens très bien. "C’est qui se type aux cheveux longs qui tape comme un malade dans la balle !" Véritable phénomène, il ne s’inclinera qu’en demie finale face à Wilander en cinq manches. A partir de ce moment, une mode Agassi va naître et les tee-shirt à l’effigie du kid de Las Vegas commencèrent à fleurir un peu partout. C’est Wimbledon en 1992 qui remporta en premier comme tournoi majeur. Une véritable surprise quand on sait qu’il déteste le gazon. Mais ce fût aussi la preuve que ce joueur pouvait s’adapter à toutes surfaces. Puis vint Flushing Meadows en 1994 et en 1999, l’Open d’Australie en 1995, 2000, 2001 et 2003.

Agassi va atteindre son apogée en 1999 à … Roland Garros qui remporta pour la première et seule fois.
Cette victoire fût dans un sens paradoxal quand on pense que c’est le premier tournoi du Grand Chelem qu’il aurait dû remporter. En même temps, il écrit une grande page du tennis avec un "T" majuscule. André Agassi devenait le premier joueur de l’histoire du tennis à remporter les quatre Grand Chelem sur quatre surfaces différentes. A l’heure actuelle, seul Roger Federer peut réitérer cet exploit mais si ça devait arriver, André Agassi se consolera en étant le seul à l’avoir fait au vingtième siècle. André Agassi a affrontré dans sa carrière un pléiade de joueurs de légende tels que : Connors, Lendl, Mc Enroe, Becker, Edberg, Courrier, Sampras, Kuerten, Federer et je dois en oublié d’autres.

Merci champion.

01 septembre 2006

La belle de la semaine : Véronique Mounier.

Véronique Mounier est née en 1972 à Grenoble. Cette très belle femme a, à la base une formation de pharmacienne. Elle intégra par la suite l’agence de publicité Saatchi-Saatchi comme conceptrice et rédactrice puis ensuite comme journaliste dans des magazines santé spécialisés. En 2001, Véronique débuta à la télévision dans l’émission matinale de France 2, "Télématin". En 2004, elle présenta sur M6, "Le Chantier", une émission favorisant l’initiation au bricolage…Le succès de Véronique s’emplifia par la suite. M6 lui propose "Grand Ecran", une émission sur le cinéma diffusée le dimanche matin. Pour finir, elle anime également une sorte de télé-réalité appelé "L'amour est dans le pré". Cette émission enregistra son record d'audience en cet été 2006. Véronique Mounier une présentatrice qui monte, qui monte.